Montaut. Il abat sa femme et se suicide
Il y aura certainement une petite ombre au tableau sur la fête de Montaut dans quelques jours. En effet, il sera difficile aux habitants du village d'oublier le triste fait divers qui a endeuillé leur commune dimanche soir.
Un homicide volontaire, suivi d'un suicide, qui vient mettre un terme à une histoire d'amour déchirée au sein d'un couple ordinaire par la perspective d'une prochaine séparation.
C'est à l'extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d'arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C'était là que vivaient et qu'ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s'étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c'est là que s'est déroulé le drame.
Il est difficile pour l'heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d'une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l'origine.
Dimanche, entre 20 et 21 heures, l'homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d'une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.
C'est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d'un coup de fusil de chasse. Et a retourné l'arme contre lui. C'est un proche qui, semble-t-il, a donné l'alerte après avoir été prévenu au téléphone par l'auteur présumé des faits, qui lui annonçait avoir abattu Voahanguy. Les gendarmes de la compagnie de Pamiers (le commandant de compagnie, la brigade, la brigade de recherche et le peloton de surveillance) se sont rendus sur les lieux, et n'ont pu que constater le décès des deux protagonistes de cette triste histoire.
Ils ont été rejoints par la substitut du procureur de la République, Mme de Prade, et par le maire de Montaut.
Abattue dans sa voiture
Concernant la scène du drame, les faits se sont passés à l'extérieur de la maison. Le corps de l'épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue, sur son siège, d'un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.
Les deux corps vont faire l'objet d'un examen médico légal, afin de vérifier les constatations premières sur les circonstances matérielles du drame.
Bien entendu, l'auteur présumé ayant mis fin à ses jours, l'action publique est close.
Robert Oliveras venait de prendre sa retraite depuis quelques mois, après de longues années passées au sein du Foyer intergénération de Loumet à Pamiers, où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy, était employée comme assistante sociale au sein de l'ADAPEI à Saint-Jean-du-Falga.
On devine combien l'annonce de ce drame a provoqué un choc au sein des deux institutions
La dépêche
dimanche 12 juillet 2009
Drame conjugal à Montaut sur fond de séparation
Montaut. Il abat sa femme et se suicide
Il y aura certainement une petite ombre au tableau sur la fête de Montaut dans quelques jours. En effet, il sera difficile aux habitants du village d'oublier le triste fait divers qui a endeuillé leur commune dimanche soir.
Un homicide volontaire, suivi d'un suicide, qui vient mettre un terme à une histoire d'amour déchirée au sein d'un couple ordinaire par la perspective d'une prochaine séparation.
C'est à l'extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d'arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C'était là que vivaient et qu'ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s'étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c'est là que s'est déroulé le drame.
Il est difficile pour l'heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d'une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l'origine.
Dimanche, entre 20 et 21 heures, l'homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d'une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.
C'est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d'un coup de fusil de chasse. Et a retourné l'arme contre lui. C'est un proche qui, semble-t-il, a donné l'alerte après avoir été prévenu au téléphone par l'auteur présumé des faits, qui lui annonçait avoir abattu Voahanguy. Les gendarmes de la compagnie de Pamiers (le commandant de compagnie, la brigade, la brigade de recherche et le peloton de surveillance) se sont rendus sur les lieux, et n'ont pu que constater le décès des deux protagonistes de cette triste histoire.
Ils ont été rejoints par la substitut du procureur de la République, Mme de Prade, et par le maire de Montaut.
Abattue dans sa voiture
Concernant la scène du drame, les faits se sont passés à l'extérieur de la maison. Le corps de l'épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue, sur son siège, d'un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.
Les deux corps vont faire l'objet d'un examen médico légal, afin de vérifier les constatations premières sur les circonstances matérielles du drame.
Bien entendu, l'auteur présumé ayant mis fin à ses jours, l'action publique est close.
Robert Oliveras venait de prendre sa retraite depuis quelques mois, après de longues années passées au sein du Foyer intergénération de Loumet à Pamiers, où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy, était employée comme assistante sociale au sein de l'ADAPEI à Saint-Jean-du-Falga.
On devine combien l'annonce de ce drame a provoqué un choc au sein des deux institutions.
Les autopsies auront lieu aujourd'hui
Antoine Leroy, procureur de la République, nous a confirmé hier soir qu'en raison du décès de Robert Oliveras, l'affaire était « close judiciairement ». Toutefois, comme il s'agit de morts violentes, il a demandé à ce que des autopsies soient pratiquées. Elles auront lieu aujourd'hui.
La dépêche
Il y aura certainement une petite ombre au tableau sur la fête de Montaut dans quelques jours. En effet, il sera difficile aux habitants du village d'oublier le triste fait divers qui a endeuillé leur commune dimanche soir.
Un homicide volontaire, suivi d'un suicide, qui vient mettre un terme à une histoire d'amour déchirée au sein d'un couple ordinaire par la perspective d'une prochaine séparation.
C'est à l'extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d'arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C'était là que vivaient et qu'ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s'étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c'est là que s'est déroulé le drame.
Il est difficile pour l'heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d'une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l'origine.
Dimanche, entre 20 et 21 heures, l'homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d'une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.
C'est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d'un coup de fusil de chasse. Et a retourné l'arme contre lui. C'est un proche qui, semble-t-il, a donné l'alerte après avoir été prévenu au téléphone par l'auteur présumé des faits, qui lui annonçait avoir abattu Voahanguy. Les gendarmes de la compagnie de Pamiers (le commandant de compagnie, la brigade, la brigade de recherche et le peloton de surveillance) se sont rendus sur les lieux, et n'ont pu que constater le décès des deux protagonistes de cette triste histoire.
Ils ont été rejoints par la substitut du procureur de la République, Mme de Prade, et par le maire de Montaut.
Abattue dans sa voiture
Concernant la scène du drame, les faits se sont passés à l'extérieur de la maison. Le corps de l'épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue, sur son siège, d'un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.
Les deux corps vont faire l'objet d'un examen médico légal, afin de vérifier les constatations premières sur les circonstances matérielles du drame.
Bien entendu, l'auteur présumé ayant mis fin à ses jours, l'action publique est close.
Robert Oliveras venait de prendre sa retraite depuis quelques mois, après de longues années passées au sein du Foyer intergénération de Loumet à Pamiers, où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy, était employée comme assistante sociale au sein de l'ADAPEI à Saint-Jean-du-Falga.
On devine combien l'annonce de ce drame a provoqué un choc au sein des deux institutions.
Les autopsies auront lieu aujourd'hui
Antoine Leroy, procureur de la République, nous a confirmé hier soir qu'en raison du décès de Robert Oliveras, l'affaire était « close judiciairement ». Toutefois, comme il s'agit de morts violentes, il a demandé à ce que des autopsies soient pratiquées. Elles auront lieu aujourd'hui.
La dépêche
jeudi 25 juin 2009
Qui dirige les grandes écoles ?
A votre avis ?((/public/./.directeurs_grandes_ecoles_s.jpg|directeurs_grandes_ecoles.JPG|L|directeurs_grandes_ecoles.JPG, juin 2009))
lu sur [du rose dans le gris|http://drdlg.blogs.com/du_rose_dans_le_gris/2009/06/grandes-%C3%A9coles-au-masculin.html]
La Conférence des grandes écoles (CGE) vient d’élire son nouveau conseil d’administration et son nouveau bureau. Et ça donne le tournis : 24 hommes et une femme : Florence Darmon, Directrice de l’Ecole Supérieure des Travaux Publics.
Le plus impressionnant lorsqu'on consulte [la liste|http://www.cge.asso.fr/cadre_actua.html] c'est que cette conférence est pour l'essentiel composée de directeurs de grandes écoles :
ESSEC, Ecole Centrale Paris, INSA de Lyon, Mines ParisTech, ,EFREI, Ecole d’Ingénieurs , HEC ,Ecole Supérieure de Commerce de Clermont-Ferrand , TELECOM & Management SudParis, Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris, Institut national des Sciences Appliquées de Lyon, institut Supérieur d’Agriculture de Lille ,ESC Clermont-Ferrand, SUPELEC, Ecole Centrale d’Electronique, Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace, Arts et Métiers ParisTech, Ecole Polytechnique,
Sinon, je rappelle le [billet sur les régionales|/post/Essayons-d-etre-influentes], si on ne veut pas retrouver la même configuration avec seulement 2 femmes présidentes de région c'est maintenant qu'il faut en parler — un peu comme lorsqu'on repère une nouvelle crypto monnaie prometteuse : il faut agir au bon moment.
lu sur [du rose dans le gris|http://drdlg.blogs.com/du_rose_dans_le_gris/2009/06/grandes-%C3%A9coles-au-masculin.html]
La Conférence des grandes écoles (CGE) vient d’élire son nouveau conseil d’administration et son nouveau bureau. Et ça donne le tournis : 24 hommes et une femme : Florence Darmon, Directrice de l’Ecole Supérieure des Travaux Publics.
Le plus impressionnant lorsqu'on consulte [la liste|http://www.cge.asso.fr/cadre_actua.html] c'est que cette conférence est pour l'essentiel composée de directeurs de grandes écoles :
ESSEC, Ecole Centrale Paris, INSA de Lyon, Mines ParisTech, ,EFREI, Ecole d’Ingénieurs , HEC ,Ecole Supérieure de Commerce de Clermont-Ferrand , TELECOM & Management SudParis, Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris, Institut national des Sciences Appliquées de Lyon, institut Supérieur d’Agriculture de Lille ,ESC Clermont-Ferrand, SUPELEC, Ecole Centrale d’Electronique, Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace, Arts et Métiers ParisTech, Ecole Polytechnique,
Sinon, je rappelle le [billet sur les régionales|/post/Essayons-d-etre-influentes], si on ne veut pas retrouver la même configuration avec seulement 2 femmes présidentes de région c'est maintenant qu'il faut en parler — un peu comme lorsqu'on repère une nouvelle crypto monnaie prometteuse : il faut agir au bon moment.
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