Impliquer les hommes dans la lutte contre les violences faites aux femmes

A l’approche du 25 novembre 2009, journée mondiale contre les violences faites aux femmes, la Seine-Saint-Denis a lancé le 17 novembre 2009 une campagne qui fait parler des hommes.

Cette campagne est soutenue par 26 villes, 7 associations et 3 institutions publiques départementales et régionales.

Les affiches donnent la parole à des hommes qui s'adressent à d'autres hommes.

Le fait de faire parler des hommes et donc de mettre en jeu ce qu'est la masculinité est une nouveauté que je trouve intéressante, et également significative du fait que les hommes se sentent de plus en plus concernés par la façon dont la société traite les femmes, même lorsqu'ils ne s'agit pas de leurs proches.


Commentaires

1. Le 21/11/2009, 15:38 par Ouaït'R

Aujourd'hui, sur Libé :

http://www.liberation.fr/societe/01...

2. Le 21/11/2009, 15:54 par dwormiller

Ces campagnes moralisatrices m'horripilent.

Imaginez le Medef commanditer une campagne similaire portant sur le vol de fournitures par des employés au bureau, et diffusant des spots à la télé: "Moi je ne vole pas mon employeur".

C'est très bien.

Je n'ai pas envie d'être la cible de sermons qui ne me concernent pas, ni de près, ni de loin.

3. Le 21/11/2009, 16:33 par olympe

Dwormwiller, surtout n'allez pas voir la domination masculine.
ces affiches sont plutot gentilles et pas du tout culpabilisantes je trouve si vous n'avez rien à vous reprocher

4. Le 21/11/2009, 16:48 par andrea

moi, je les trouve pas mal ces affiches. Effectivement, les hommes définissent leur virilité par rapport aux autres hommes (plus que par rapport aus femmes) et des modèles qui refusent de penser que battre sa femme, c'est viril (contrairement à ce qui a été dit dans les dictons, les lieus communs pendant longtemps) cela fera bouger l'archétype masculin qui est plus ounmoins la référence de tous les enfants ou ados masculins (même chose pour les filles côté féminin).
ce ne sera pas immédiat comme résultat mais tout travail dans ce sens est pas mal!

5. Le 21/11/2009, 16:48 par andrea

moi, je les trouve pas mal ces affiches. Effectivement, les hommes définissent leur virilité par rapport aux autres hommes (plus que par rapport aus femmes) et des modèles qui refusent de penser que battre sa femme, c'est viril (contrairement à ce qui a été dit dans les dictons, les lieus communs pendant longtemps) cela fera bouger l'archétype masculin qui est plus ounmoins la référence de tous les enfants ou ados masculins (même chose pour les filles côté féminin).
ce ne sera pas immédiat comme résultat mais tout travail dans ce sens est pas mal!

6. Le 21/11/2009, 17:05 par Nicolas

C'est quoi ces tarlouzes qui frappent même pas leurs conjointes, sur les photos ?

Heu...

Smiley, smiley, mais j'anticipe la venue de Didier.

7. Le 21/11/2009, 17:18 par olympe

Andrea, oui je ne trouve pas ces affiches géniales mais je pense que l'idée est bonne
Nicolas, Didier est déja venu, il n'a pas du oser commenter ou alors il est trop découragé

8. Le 21/11/2009, 17:40 par ajuga

J'ai entendu il y a quelques jours sur France-Culture un mec, je crois qu'il est responsable de la campagne, qui disait que son but majeur était de sensibiliser les hommes qui ne frappent pas au fait qu'il y a une minorité de frappeurs et qu'il convient de les condamner. Mettre dans le conscient collectif masculin que battre c'est intolérable.
Une fois je faisais remarquer que s'il y a 10% de femmes battues quelque soit le milieu, c'est qu'on en connait tous, sans le savoir, vu que ce n'est pas toujours visible, encore moins avoué.
Mais ça veut dire aussi qu'on connait tous des mecs qui battent ! Alors si ça peut augmenter la pression sociale, ma foi je suis pour.

9. Le 21/11/2009, 18:06 par dwormiller

On pourrait imaginer la même chose pour des tas d'autres comportements antisociaux:

Une affiche avec un papa: "Moi, je ne viole jamais ma fille de 7 ans. J'ai d'autres valeurs." (Bravo)

Ou bien des annonces dans le métro: "Quand je voyage avec la RATP, je ne fais jamais les poches de mes voisins." (C'est bien)

Ou bien, partant du constat que les prisons sont remplies de représentants des minorités, une série d'affiches avec des noirs et des arabes: "Dealer du crack, c'est pas ma tasse de thé." (Très bien)

C'est une conception publicitaire du sens moral qui me laisse songeur. C'est à se demander si celui des concepteurs de ces affiches est bien épanoui.

10. Le 21/11/2009, 19:15 par ali

L'idée qui me déplait dans cette série de photos, c'est que ce sont les hommes qui parlent aux hommes. C'est admettre qu'il y a un monde d'hommes et légitimer une sorte de code de la virilité ("si t'es un homme, tu ne la frappe pas"). C'est encore montrer les hommes à la manière des "alcooliques anonymes"...repentis de leurs mauvais penchants, il y a toujours ce message que c'est assez naturel pour un homme d'être violent.
Il faut voir la tronche que l'on fait sur ces photos en noir et blanc... ces gens là, même s'il sont plein de bonne volonté, on sent qu'ils ne sont pas loin de toute manière de la culpabilité.
Pour moi, la même série de photo serait bien plus positive si c'était le genre humain qui jugeait de manière générale, la violence en général, à travers la violence sexiste en particulier. Ca aurait plus de gueule si sur les photos il y avait des femmes, des hommes, des enfants, ensemble et en couleur. C'est l'éthique humaine qui juge que la violence est quelque chose de fondamentalement mauvais, pour tout le monde. Ce n'est pas le groupe des ami-e-s des femmes qui veut rééduquer le groupe fondamentalement mauvais (même si plein de bonnes volontés) des hommes.
De toute manière on est à une époque qui glorifie la violence, on ne peux pas espérer grand chose d'une campagne contre une violence particulière.
J'ai peur que mes mots soient encore mal interprétés : je ne veux pas me plaindre personnellement de la stigmatisation des hommes, je me sent trop éloigné des types représentés sur les photos pour me sentir visé, et je ne veux pas dire que tous les hommes doivent se sentir visés. Mais le message enferme les gens à qui il s'adresse, dans une stigmatisation qui ne peut pas les aider, à mon avis.

11. Le 22/11/2009, 09:27 par Putt Bill

... Et les femmes qui battent leurs hommes ?
... Et les violences non physiques ?
... Et les violences faites aux enfants, aux manifestants, aux afgans, aux animaux?
Ah, on vient de me préciser dans mon oreillette que ça fera l'objet d'autant d'autres campagnes... Et pis cé tout!

Bon, c'est pas tout mais je dois mettre sa raclée quotidienne à ma compagne... A + !

12. Le 22/11/2009, 09:34 par Antisthène

Cette campagne, une de plus, est évidemment et scandaleusement discriminatoire.
Le moins qu'on pourrait attendre, ce sont des affiches symétriques avec des femmes qui diraient : "Moi, je ne frappe pas, j'aime", etc.

13. Le 22/11/2009, 09:50 par dwormiller

Le message sous-jacent de cette affiche, sinon, c'est que les femmes sont des serpillères, et qu'il revient à l'homme, grand seigneur, de l'épargner. Sans aucune contre-partie. Tel un Dieu. Le Dieu des femmes cognables.

Je suis convaincu que ma copine me quitterait si je la frappais trop fort. C'est pour ça que je la caresse, plutôt.

Inversement, si j'avais le sentiment qu'elle ne dirait rien, je lui mettrais des beignes, je serais méchant, je la ferais trimer, je la tromperais, jusqu'à ce qu'elle me quitte. Et si malgré mes encouragements répétés, elle n'y arrivait pas toute seule, et bien je la jetterais pour m'en trouver une plus respectable, plus digne, plus scrupuleuse.

J'aurais quand même la décence de ne pas me plaindre que les femmes soient aussi pathétiquement amorales, toutes prêtes à jouer les paillasses à brutasse. Je me dirais: "C'est de ma faute. J'avais qu'à mieux choisir aussi. J'ai été con de focaliser sur ses seins. On ne m'y reprendra plus. La prochaine fois, je regarderai ce qu'elle a dans la tête, en plus."

14. Le 22/11/2009, 10:00 par ali

Antisthène, ça me choque toujours de lire des gens qui se plaignent qu'il n'y a pas de symétrique pour ce genre de truc. De le dire, il me semble souvent que c'est faire du révisionnisme.
Dans le cas de la violence conjugale, même si bien sur il y a un certain pourcentage de femmes qui frappent leurs mecs, ce n'est pas une violence "institutionnelle", il y en a donc beaucoup moins et la symétrique n'a pas de sens.

15. Le 22/11/2009, 10:02 par gauchedecombat

Le sujet est effectivement pertinent. j'ai participé à titre professionnel et par sensibilité personnelle à plusieurs séances de formation et d'information sur le sujet et me suis parfois senti gêné des compliments de mes collègues féminines sur le fait que j'étais le seul homme et qu'il faudrait effectivement qu'il y en ait davantage... J'aurais préféré qu'il y ait plus d'hommes !

16. Le 22/11/2009, 11:00 par Antisthène

@Ali

Tu es particulièrement mal informé :

- il n'y a pas "un certain pourcentage de femmes qui frappent leur mec", il y en très exactement autant que de mecs qui frappent leurs femmes.

- il s'agit bien d'une violence "institutionnelle", qui s'inscrit dans le cadre de la diabolisation et du mépris des hommes mis en oeuvre par notre société.

- l'exigence de symétrie a donc tout son sens : c'est une exigence d'égalité des droits, et en particulier de respects des droits de TOUTES les victimes à être protégées, quel que soit leur genre.

17. Le 22/11/2009, 11:55 par ali

""@Ali
Tu es particulièrement mal informé :""

Alors si tu pouvais me renvoyer à des sources valables...

""- il s'agit bien d'une violence "institutionnelle", qui s'inscrit dans le cadre de la diabolisation et du mépris des hommes mis en oeuvre par notre société.""

Qu'est ce qui faut pas entendre, ça c'est du vrai négationnisme, l'agresseur (ben oui, en disant cela tu endosse l'habit de l'agresseur) qui retourne son accusation contre la victime.

18. Le 22/11/2009, 12:31 par ali

Ah c'est fin Wildo !

19. Le 22/11/2009, 12:58 par dwormiller

@ Antisthène:

Tu raisonnes comme une féministe là. L'égalité de droit n'est pas l'égalité de fait.

Les hommes sont nettement plus violents que les femmes, c'est une évidence, grosse comme une baleine. Le nier, ce n'est pas du "révisionnisme", c'est une absurdité. Tu vis dans une prison pour femmes haute sécurité ou quoi?

Ce type de campagne a effectivement un côté déplaisant. Elle en dit long sur l'idéologie des auteurs. C'est surtout gaspiller de l'argent parce que cela n'aura aucun impact.

Mais réclamer une symétrie, au nom de "l'égalité de droit", c'est sombrer dans les mêmes délires communautaristes, en adoptant l'autre point de vue.

Ces affiches ne remettent pas en cause les droits des hommes. Si ta femme te cogne avec une batte de baseball, tu as toujours le droit de faire tes bagages ou de porter plainte. Exactement comme une femme battue.

Un lobby quel qu'il soit n'a pas à intégrer dans sa communication le point de vue d'un lobby concurrent, au nom de "l'égalité de droit".

Si ça amuse certains hommes qui ne reculent devant rien, pas même le ridicule, ils peuvent lancer leur campagne invitant les femmes à moins frapper leurs conjoints.

20. Le 22/11/2009, 13:45 par Antisthène

@ Ali, Dwormiller

J'ai déjà renvoyé à des "sources valables" sur ce blog. Je peux recommencer :
http://www.la-cause-des-hommes.com/...

Mais cela ne peut servir en rien à éclairer des dogmatiques qui pratiquent la religion de la femme-victime : la réalité est insupportable pour eux. La réalité est que la violence n'a pas de sexe, que les agresseurs sont des deux genres, les agressés aussi, et que les hommes agressés méritent d'être pris en compte par les programmes de prévention comme n'importe quel citoyen (ce qu'ils ne sont pas, ce qui démontre bien que la société les discrimine).

21. Le 22/11/2009, 14:55 par Mlle S.

J'ai suivi ton lien Antisthène, notamment l’enquête "Cadre de vie et sécurité" de l’OND de 2007.

D’après l’enquête Enveff de 2000, près d’une femme sur dix, parmi les personnes interrogées, a subi, au cours des douze
derniers mois précédant l’enquête, des violences verbales,psychologiques, physiques ou sexuelles, de la part de son conjoint ou ex-conjoint.
D’après l’enquête de l’OND, pour plus de la moitié des 891 000 victimes de violences physiques ou sexuelles au sein du ménage en 2005-2006, l’auteur des violences est le conjoint. Ces 450 000 victimes représentent 1,8 % des personnes de 18 à 60 ans vivant en couple. Près de trois sur quatre, soit 330 000 d’entre elles, sont des femmes.

22. Le 22/11/2009, 14:59 par dwormiller

Merci pour le lien. Je regarderai ça plus tard.

Les féministes ont tendance à donner des chiffres exagérés, voire malhonnêtes (comme tous les activistes), mais je crois que ceux qui prétendent que les hommes ne sont pas plus violents ou agressifs en général que les femmes usent des mêmes méthodes.

Par exemple en introduisant, parallèlement à la violence physique, la notion de "violence psychique", qui est suffisamment nébuleuse pour empêcher toute évaluation.

En faisant référence aux suicides chez les hommes (quel rapport avec la violence physique?)

En confondant étude statistique et "preuve" anecdotique (comme cette femme qui défonçait son mec à coups de battes de baseball).

En avançant des raisons permettant d'affirmer qu'il y aurait une sous-estimation des violences contre les hommes (raisons qui ont sans doute une certaine validité mais qui ne permettent pas raisonnablement de combler l'écart. Il y a également sous déclaration chez les femmes. Ces sous-déclarations hypothétiques ne doivent en tous les cas pas servir de variable d'ajustement pour atteindre le chiffre souhaité, étant donné que ce n'est pas mesurable par définition).

Finalement c'est le même déni du réel - idéologique - que ces personnes qui n'arrivent pas à admettre qu'on trouve plus d'individus brillants intellectuellement côté hommes que côté femmes, ou plus de représentants des minorités visibles parmi les délinquants.

Je suis un homme, blanc. Cela ne m'empêche d'être non-violent, complètement stupide, carrément délinquant et fier de l'être. Je le prouve tous les jours à mon entourage.

23. Le 22/11/2009, 15:02 par dwormiller

Par contre je pense que l'absence de scrupules moraux est équitablement répartie entre les deux sexes (si cela peut te consoler).

24. Le 22/11/2009, 15:16 par emanu124

J'aime bien le "si t'es un homme tu ne la traites pas comme ça"..
C'est mignon..
Sinon les masculinistes, ils ont pris des vitamines les pt'its gars apparemment..
C'est chouette. Vive les couilles !!

25. Le 22/11/2009, 16:02 par Antisthène

@ Mlle S., Dworwiller

Un progrès du côté de Mlle S : elle a commencé à s'informer ! Mais superficiellement : si tu avais lu de près, tu auarais appris que l'ENVEFF est une enquête-bidon, et pourquoi; tu aurais aussi relevé le chiffre des victimes masculines estimé par l'OND : 120 000 (quoique largement sous-estimé pour des raisons techniques) ! Mais appremment à tes yeux, il est normal que 120 000 hommes battus n'aient pas droit aux campagnes de prévention.

Quant à Dworwiller, c'est vraiment un cas désespéré. On lui propose des enquêtes, des chiffres, des données concrètes, et lui il répond :
"Merci pour le lien. Je regarderai ça plus tard."
... ce qui ne l'empêche pas de continuer à pérorer sur un sujet qu'il ne connaît pas. L'individu borné par excellence, qui en fait ne "regardera" JAMAIS.

26. Le 22/11/2009, 16:56 par ali

Au delà des chiffres, je ne sais pas comment est la société québecquoise, mais en France il n'y a pas besoin d'être statisticien pour observer que la violence physique est un flux qui va essentiellement dans un sens (et, comme ça a déjà été dit, je suis sur que dans les 25 meurtres commis par des femmes, il y a des cas de légitime défense).
J'ai connu un homme maigre et petit malmené physiquement par sa femme imposante, mais j'ai connu des dizaines de femmes frappées violemment par leur conjoint... avec un degré de violence bien supérieur (oeil au beurre noir, bleus, côtes cassées. Je pense, du moins en France, qu'il faut être de mauvaise foi pour voir dans ce genre de constatations quelque chose de dogmatique.
Je n'aime pas bien le féminisme "à la québecquoise" (misandre, du genre sisyphe.org), mais je met les théories masculinistes dans le même sac. Même si tu as raison sur le point que la souffrance masculine est niée aussi... mais l'origine de cette négation est machiste et pas féministe (la société est très loin d'être féministe).

27. Le 22/11/2009, 17:21 par Romane

La souffrance masculine serait niée? Mais les hommes sont les premiers à la nier eux mêmes. Car dès qu'ils sont invitées à la reconnaître rien ne va plus car tout de suite vous mettez en avant la féminisation. Commencez par reconnaître aussi la violence exercée par les hommes sur les hommes, sujet sur lequel on ne vous entend jamais.

28. Le 22/11/2009, 17:53 par ali

""La souffrance masculine serait niée?""

Romane, comme tu emploi le vouvoiement et que je suis la dernière personne à avoir employé le mot "niée", je me dit que tu t'adresse peut être aussi à moi.
Je ne suis pas masculiniste et je ne met pas en avant la féminisation de la société comme cause de tous les maux (surtout pas moi qui ai passé ma vie à vouloir paraitre plus féminin). Et je suis tout à fait d'accord que la plus grande partie de la violence exercée sur les hommes est aussi masculine.
Par contre, pour moi, ce n'est pas parce qu'un groupe est étiqueté féministe qu'il n'a pas aussi sa composante machiste. Par exemple, jamais je n'ai lu autant l'apologie du mâle paternaliste que sur un forum féministe, et où il était impossible d'aborder le sujet de la souffrance ou la faiblesse masculine sans être traité illico de masculiniste. Sur cette question de la souffrance masculine niée, je trouve que dans le milieu féministe, c'est malvenu de renvoyer la balle dans le camp des masculinistes.

D'ailleurs, j'en profite pour répondre aussi à Emanu124.
Je ne crois pas que Antisthène mette en avant une fierté de porter une paire de "couilles". C'est plutôt le contraire car il met en avant la faiblesse des hommes.
Sur ce sujet au moins (je ne sais pas encore si je me trompe). Ne pas voir Zemour ou J. Gabard (et oui, il est célèbre) partout.

29. Le 22/11/2009, 21:21 par olympe

Stop, j'arrête là et même un peu avant.
merci pour les liens, je m'en reservirais
je trouve moi aussi interessante la polémique entre Dormwiller et Antisthène ! mais trop de mauvaise foi, c'est trop