Comité de la jupe
Par Olympe le samedi 6 décembre 2008, 10:24 - Lien permanent
Au cours des 2 derniers jours 84 visiteurs sont arrivés sur mon blog après avoir cherché sur Google "comité de la jupe "ou autres mots similaires (voir quelques billets plus bas).
Etonnant non ?
En ont parlé également : Quitterie et Angel Cake qui donne les coordonnées du Comité de soutien, voir aussi Communicatho Quand à moi vous savez déja ce que je pense de la hiérarchie catholique : ici et ici
Question aux spécialistes : Vingt-trois c'est son vrai nom ?
Commentaires
avec un nom pareil il est prédestiné à finir pape
André Vingt-Trois est le fils de Jean XXIII.
Je crois connaître la réponse :
Ces noms en "numéros" étaient donnés par les prêtres et religieuses aux bébés qu'ils trouvaient dans des tourniquets aménagés à cet effet dans les portes d'églises et de couvents. Lorsqu'elles les leur confiaient, en plein hiver notamment, les mères les y déposaient, puis elles sonnaient la cloche et s'enfuyaient : l'enfant était en sécurité, elles étaient sûres qu'ils ne mourraient pas de froid.
Il y a donc fort à parier que par une nuit d'hiver, une pauvresse a déposé l'ancêtre de Monseigneur Vingt-trois dans l'un de ces tourniquets après avoir accouché dans le plus grand secret.
Mais dites donc, c'est du délire, cette affaire-là ! D'abord, ma chère Olympe (est-ce ton vrai nom ?), quand tu poses la question : Vingt-Trois, c'est "sont" vrai nom ... tu ferais bien de réviser ton orthographe, sous peine de donner raison au-dit cardinal...Ensuite je dirais que poser la question sous cette forme, n'est-ce pas insinuer qu'il y a "dissimulation" de la part de cet homme de Dieu, pour ne pas dire encore plus ! Quant à la réponse d' Adaxala, je ne sais si elle l'a trouvée dans un livre ou dans sa tête, mais personnellement je préfère celle (plus pragmatique mais certainement moins fantasmée) que j'ai trouvé sur Internet, et dont voici le lien :
http://www.geneanet.org/onomastique...
Amusez-vous bien quand même !
Roxange, merci faute d'orthographe corrigée. je n'insinue rien je trouve juste qu'il y a des noms qui influence toute une vie. sinon le machisme de l'eglise catholique ne m'amuse pas
Bravo : il est grand temps que les femmes se révoltent contre l'institution eccclésiastique qui n'est pas l'Eglise, mais seulement un pâle reflet de celle-ci, même si elle en fait partie. Continuez à talonner nos évêques (qui s'habillent en femme) pour exiger votre reconnaissance et votre représentation dans les instances de l'Eglise de France, avec droit de vote... Un homme qui vous soutient et qui refuse de payer le "Denier du culte" tant que les femmes ne seront pas reconnues dans notre Eglise. Car l'histoire de l'institution ecclésiastique se confond avec le mépris et le rejet des femmes et la peur du sexe dit faible !!!
bien vue la réponse au cardinal..que les femmes se fassent entendre dans leur vraie spécificité, pour que le yin et le yang soient respectés en chacun! Il y a encore du chemin à faire vers l'unité de l'être.. surtout dans la gent ecclésiastique
Chère ROXANGE,
Ce n'est ni dans un livre, ni dans ma tête que j'avais trouvé cette explication - que j'avançais d'ailleurs avec prudence ("je crois savoir..."), mais au cours d'une émission de radio sur l'origine des noms de famille, je ne me rappelle plus laquelle, malheureusement.
Il est avéré, néanmoins, que sous l'Ancien Régime, les hospices et hôpitaux (alors tenus par des Religieuses) disposaient de sorte de portes-tambours (ou tours), où les mères pouvaient déposer les enfants qu'elles y abandonnaient tout en conservant l'anonymat. Ceci n'est pas un fantasme, c'est une réalité historique.
Autre fait: les enfants trouvés étaient ainsi affublés de noms parfois fantaisistes : d'abord (religion oblige), du nom du Saint du jour, du jour de la semaine, du mois de l'année, ... et pourquoi pas du numéro du jour dans le mois?
Cette hypothèse vaut bien celle que vous avez trouvée sur geneanet (qui ne s'affirme pas comme vérité révélée, d'ailleurs) et qui, en outre, ne me paraît pas inattaquable.
En effet, je suis linguiste, et, dans ce domaine, on constate que les évolutions, qu'elles soient orthographiques ou phonétiques, vont dans le sens de la facilité et de la simplification. Or, (pour reprendre l'exemple de geneanet) passer de VINTRAS à VINGT-TROIS ne me paraît pas conforme à cette tendance, ce serait plutôt l'inverse!
Cela dit, merci pour votre réaction qui m'a permis d'aborder un domaine inconnu et de découvrir des sites non dénués d'intérêt.
c'est parcequ'au départ je pensais que peut être les archev^ques avait un N° comme les Papes. mais puisque ce n'est pas le cas, peut être qu'un de ces ancêtre était le 23eme enfant d'une famille, ou le 23eme à avoir réussi unex ploit ou...
Groupes de femmes catholiques féministes dans l’aire francophone
1. Groupes de femmes (et d’hommes) catholiques féministes :
- 1896 (France) : Le Féminisme chrétien avec Marie Maugeret (1844-1928)
- 1902 (Belgique) : Le Féminisme chrétien de Belgique avec Louise Van den Plas (1877-1968)
- 1907 (Québec) : La Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste avec Marie Gérin-Lajoie (épouse Lacoste, 1867-1945)
- 1927 (France) : L’Union Nationale pour le Vote des Femmes (UNVF) avec Edmée Frisch de Fels (épouse de La Rochefoucauld, 1895-1991)
- 1930s (France) : L’Union spirituelle des femmes avec Cécile Compeyrot (épouse de Corlieu, 1891-1982) et Pauline Le Cormier (épouse Archambault)
- 1937 (France) : La section française de l’Alliance Jeanne d’Arc avec Marie Lenoël
- 1970 (France & Belgique) : Femmes et Hommes en Eglise (FHE) avec Yvonne Pellé Douël, Marie-Thérèse Van Lunen-Chenu, Suzanne van der Mersch, Pierre de Locht.
- 1974 (France) :Groupe de recherche pour l’accession des femmes au diaconat, appelé ensuite Groupe de recherche et d’action pour les Ministères à Venir (GMV), avec Marie-Jeanne Bérère, Renée Dufourt et Donna Singlès.
- 1976 (Québec) : L'Autre Parole avec Marie-Andrée Roy
- 1982 (Québec) : Le Réseau Femmes et ministères (RFM)
- 1986 (Québec) : L’Association des religieuses pour la promotion de la femme (ARPF)
- 1996 (Québec) : l’Intergroupe des chrétiennes féministes (IFC) : regroupe le RFM, l’ARPF, l’Autre Parole, le MFC, les Répondantes diocésaines à la condition des femmes (RDCF), le Réseau œcuménique des femmes du Québec (ROF-Q) et l’AFEAS.
- 2008 (France) : Le Comité de la Jupe avec Anne Soupa et Christine Pedotti.
2. Groupes de femmes catholiques qui ont plus tard évolué vers le féminisme :
- 1901 (France) : L’Action catholique féminine (nom depuis 2008), initialement nommée « Ligue des femmes française » puis « Action catholique générale féminine » (ACGF)
- 1925 (France) : L’Union féminine civique et sociale (UFCS) avec Andrée Butillard (1881-1955). N’est plus confessionnelle depuis 1965.
- 1966 (Québec) : Le Mouvement des Femmes Chrétiennes (MFC)
- 1966 (Québec) : L’Association féminine d’éducation et d’action sociale (AFEAS) issue des Cercles d’économie domestique (CED, 1952) et de l’Union catholique des femmes rurales (UCFR, 1944)
Le portail des groupes de chrétiennes féministes est à cette adresse : http://sites.google.com/site/chreti...